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PUBLIÉ LE 04/09/2012 PAR Stéphane BailletCette année, le temps d’aimer c’est 51 rendez-vous de danse dont 23 spectacles en salle, des scènes en ville, des répétitions publiques, des performances dans les rues comme dans les bus, des gigabarres sur la plage, une exposition, une programmation cinéma danse, des conférences, des stages de danse, un bal… Bref, le festival biarrot est une immense farandole au sein de laquelle il faut se laisser emporter, un florilège de rendez-vous qui font tourner la tête, un hymne au corps et au mouvement. Pendant dix jours, sous la houlette de Thierry Malandain, directeur artistique hors pair, Biarritz vit et vibre au rythme de compagnies internationales.
Il y aura cette année encore du beau, comme la venu très attendue du Balleto teatro di torino et de son evanescente belle au bois dormant. Mais aussi de l’insolite avec par exemple le ballet pour cygnes et danseuses de la compagnie Le Guetteur. Parmi les incontournables de cette édition 2012, on notera la présence des compagnies Batsheva Dance ou du CCN de Nantes Brumachon/Lamarche. Enfin, le festival biarrot confirme son statut de laboratoire pour jeunes compagnies et l’on attend beaucoup des prestations du Laboratoire de Recherche Chorégraphique, ou encore de la compagnie Julien Lestel.
Au menu des bonnes nouvelles, le festival offre cette année à son public une soirée exceptionnelle (et gratuite) sur la plage du Port Vieux. Les danseurs du Ballet Malandain de Biarritz offriront en effet le dimanche 9 septembre un florilège de pièces inspirées des ballets russes ainsi que la dernière création maison, auréolée du Grand Prix de la Critique.
