« Attention, ça va swinguer ! » : objectif du Festival Swing Art, atteint dès sa nuit d’ouverture.


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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 22/03/2013 PAR Laura Jarry

L’euphorie d’une danse.S’il est en effet un des sentiments qui transparaît le plus lors des prestations de danses façon swing, c’est ce plaisir apparent que les danseurs éprouvent à évoluer sur la piste, à dompter la musique en calant parfaitement des mouvements sur un rythme souvent rapide et grisant. Un goût pour le swing qu’ils partagent, qu’ils communiquent à ceux qui les regardent, voire les admirent. Membres de Swing Time, ou simples danseurs avertis, ce soir-là, ils prenaient surtout part, ensemble, à un évènement qui leur permettait d’exprimer leur art, et également de le faire découvrir au grand public.
Catherine Reglat, présidente de l’association, se félicitait ainsi de voir autant de monde se presser au Comptoir du Jazz, soulignant que « les soirées prévues dans la Halle des Chartrons réunissaient, lors des précédentes éditions, entre 400 et 500 personnes ». Pour ce sixième opus, et avec les professeurs émérites et internationaux conviés, il y a fort à parier que l’évènement gagnera encore en popularité.

Avoir le bon tempo.Présents à cette cérémonie d’ouverture, les danseurs mondialement connus Steven Mitchell, Nicolas Deniau et Mikaela Hellsten, ont joué de leur talent sur la piste de danse. Pour autant, le swing ne se danse pas en groupe restreint : les couples se font et se défont, sans tenir compte des âges, sexes ou niveaux de danse, simplement par affinités, par un clin d’œil, par l’envie ressentie de ne pas rester spectateur sur le côté, de s’y essayer. Ensuite, « il suffit de demander à quelqu’un s’il veut danser, et c’est parti », remarque Jennifer Lamaignère qui fait partie de Swing Time.
D’apparence simple, il est pourtant conseillé de suivre l’atelier qui précède ce type d’exercice libre, au moins pour s’engager sur la piste en ayant quelques bases en tête. Autre donnée primordiale à assimiler : l’endurance, il vous faudra parfois enchaîner les pas sur un rythme endiablé ! Le Cenon Jazz Big Band ne rigole pas quand il s’agit de faire du swing, surtout que comme le souligne Maxim, vice-président de Swing Time, « si le swing n’existait pas, beaucoup de musiciens n’existeraient pas ».


A la Halle des Chartrons :
Soirées Live : Vendredi 22 mars, de 21h à 2h (dress code green for men et orange for women) et Samedi 23 mars, de 19h30 à 2h (dress code années 30 et 40).
Soirée After : Dimanche 24 mars, de 20h30 à 2h.
Initiations de danses : les samedi 23 et dimanche 24 mars, de 13h30 à 17h30/18h.
Exposition et Stands d’expo-ventes.

Programme complet sur le site de l’association Swing Time.

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