Avis aux amateurs de bons mots ! Le 4 novembre, lancement du dernier opus d’Auguste Derrière : Les Fourmis n’aiment pas le Flamenco


Castor Astral & Maison PoaPlume
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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 01/11/2011 PAR Isabelle Camus
Coup de coeur de très nombreux libraires, son premier opus, Les moustiques n’aiment pas les applaudissements, s’est vendu à plus de 20 000 exemplaires. Après les moustiques, l’esprit pétillant d’Auguste  Derrière va encore se manifester, et ce sont les fourmis qui vont prendre le relais pour renouer,  sans l’ombre d’un doute, avec le succès. « La religion , c’est aussi évident que dieu et dieu font quatre » ou, pour rester dans le même registre…  » Un gode n’est pas toujours un dieu anglais »…  Attention ! On annonce  du lourd de calembours  à l’horizon ! Celui qui fut sans hésitation le fleuron du non-sens et du jeu de mots laid, qui révolutionna  l’art naissant de la publicité pour devenir la coqueluche de l’élite culturelle de l’époque avant de sombrer dans l’oubli, connait une seconde rédemption.

Si t’es gai, ris donc !
Avec plus de 400 pensées, maximes, dictons et réclames absurdes, les fans de la première heure, et de la dernière, vont en avoir pour leurs 12,90 euros. Un investissement dérisoire Lancement officiel pour Auguste Derrrière le 4 novembre avec les joyeux drilles de la maison PoaPlumesi l’on considère les bienfaits d’une telle somme de concentré de poilade. Car souvent, comme on peut le constater, bien mieux qu’une ordonnance, le rire a ce pouvoir immense, si ce n’est de guérir, au moins de prévenir, en tout cas d’adoucir. Distraire, réjouir, amuser, faire jouer les zygomatiques, c’est toute l’ambition de « Les fourmis n’aiment pas le flamenco », avec cette fois-ci, un cahier quadri, sur les dessous de Derrière, à mettre dans toutes les pharmacies, en plus des librairies. Humour, esthétique et graphisme sont réunis sous la forme d’un joli objet livre édité par Le Castor Astral, l’éditeur local du dernier prix Nobel de littérature, le poète suédois Tomas Tranströmer. Sans oublier de mentionner, qu’Auguste Derrière est aussi l’un deshumoristes du magazine CLES,  le bimestriel de Jean-LouisServan-Schreiber, avec sa Page Essentielle, au tirage de 150 000exemplaires, excusez du peu ! Or donc, pour découvrir « qu’on ne dit pas  gros rhume mais rhino féroce », que « le dopage n’est pas le verso d’une feuille » ou « qu’il n’y a pas de chauves à Ajaccio, mais à Calvi si !  » rendez-vous ce vendredi, de 16h 30 à 19h 00, au 91 de la rue Porte Dijeaux avec au programme :  lecture théâtralisée d’Alain Dessy (Compagnie de Si), séance de dédicaces par les découvreurs de l’Auguste Derrière et verre de l’amitié. L’entrée est libre. Olé !

http://www.augustederriere.com

Photo : Castor Astral & Maison PoaPlume

Isabelle Camus

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