« A Pau Qu’ei », lumière sur l’Occitanie, en chair et en os.


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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 04/04/2011 PAR Olivier Darrioumerle

« A Pau Qu’ei, hestenau de las culturas en resisténcia, a pour propos de montrer une culture d’Occitanie vive et décomplexée, ouverte et accessible à tous ! » Le Méd’Oc, Mouvement des étudiants occitans, n’est pas un regroupement de monstres de foire, ni « des imbéciles heureux qui sont nés quelque part. » Georges Brassens les aurait pris dans ses bras. Car la différence entre « les gens du cru » et nos ravissants étudiants occitans est de poids. C’est celle de la certitude. Et ils s’évertuent à le répéter. « On n’est pas le produit d’un sol. On est le produit de l’action qu’on y mène. » C’est dans le mouvement qu’ils ont à cœur de faire partager leur culture, en musique pour votre plus grand plaisir ! Et en guise de premières salves, une joute de chant polyphonique béarnais, puis un battle d’improvisation entre Basques et Gascons. Début des hostilités à 19h avec un apéritif musical. Lors de cette première soirée « cabaret » on chante et on échange autour d’un verre.Dès le lendemain, entre midi et deux heures, devant le R.U, on se risque à la danse gasconne en guise d’échauffement pour la soirée « danse traditionnelle ». Mathieu schématise : « À la soirée Tri-bal, on se défoule en rythme ! ». Et le Jeudi soir, qui rime avec soirée étudiante, la pression va monter d’un cran. Rock basque pour tout le monde ! Zure osagarriari ! Santat !

Photo : Aqui.fr

Olivier Darrioumerle

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