Cette palette d’activités l’amène chaque année à faire bénéficier 25 porteurs de projets d’un accompagnement individualisé et gratuit « en incubation » ou en pépinière. Un soutien qui passe par un conseil suivi et régulier, une assistance apportée par exemple dans la recherche de capitaux ou la réalisation d’études de faisabilité. Sans oublier des formations gratuites, ou encore une mise en relation, toujours précieuse, avec divers partenaires. Pour ne citer que quelques avantages.
La formule séduit, constatent André Duchateau, le président de la technopole, et Olivier Farreng, son directeur général. A tel point qu’Hélioparc manque aujourd’hui de place et envisage de s’agrandir sur des terrains situés à proximité des laboratoires de l’université, de grandes écoles d’ingénieurs (EISTI, ENSGTI ), et de l’Ecole supérieure de commerce.
Dans ce cadre, un nouveau bâtiment, baptisé « Newton », va voir le jour à l’automne 2014. L’un de ses étages sera occupé par la société de services informatiques Cap Gemini, qui ne cesse de se développer. Plusieurs sociétés en cours de création devraient également accueillies dans le bâtiment En parallèle, une pépinière d’entreprises dédiées aux TIC va être inaugurée en octobre sur le site de Hélioparc 1.