Le Conseil régional d’Aquitaine se mobilise pour aider les entreprises à exporter


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Publication PUBLIÉ LE 21/11/2014 PAR Nicolas César

Jeudi soir, Alain Rousset a officiellement les incubateurs régionaux, qui vont permettre d’offrir de nouveaux services d’appui à l’implantation en Allemagne, au Brésil et en Chine. « Les entreprises nous ont expliqué qu’elles avaient besoin d’un service plus individuel. C’est ce qui est ressorti du travail mené par le club des ETI sur la statégie de conquête à l’international. Pour elles, les services des chambres et d’Ubifrance ne sont pas assez personnalisés », rapporte Eric Guilloteau, conseil régional délégué à l’export. La Région a donc identifié des marchés cibles, en lien avec les filières d’avenir, la santé, le numérique, l’aéronautique, le laser… Ces marchés sont donc l’Allemagne (groupement Chambre de Commerce Française en Allemagne et UBIFRANCE), le Brésil (Altios France), la Chine (groupement UBIFRANCE avec ERAI (agence de développement Rhône-Alpes) accompagné par PRAMEX International) et les Etats-Unis. En effet, Alain Rousset a aussi signé jeudi soir la convention de partenariat avec Robert Lion, président de Paris Région Entreprises, pour faciliter l’accès des PME innovantes aux services du « French Tech Hub », « Maison de la France » aux États-Unis.

Aider les entreprises à exporter, c’est créer de l’emploi en Aquitaine« Ces incubateurs, qui seront en place début 2015, vont permettre aux entreprises de gagner beaucoup de temps dans leurs démarches à l’export. « Elles auront ainsi des locaux disponibles sur place, des conseils juridiques, précieux, qui coûtent souvent très chers », souligne Eric Guilloteau. La Région Aquitaine investit au total 1,8 million d’euros dans ce dispositif, et continuera, parallèlement, à aider individuellement, les entreprises à  exporter, à travers des subventions. Au final, c’est l’économie aquitaine qui devrait s’en trouver grandie. A l’étranger, les sociétés régionales vont trouver de nouveaux relais de croissance, de nouveaux marchés, qui amènent ensuite la création d’emplois en France. Les incubateurs doivent accompagner au minimum 45 entreprises et 18 clusters sur 3 ans. 

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