Pyrénées-Atlantiques : Jean-Jacques Lassserre veut continuer à "jouer efficace et juste" en 2021
Covid-19 : Lancement de la campagne vaccinale pour les plus de 75 ans
« Faire un prix différencié de l’eau selon l’usage », pour le président de Bordeaux (...)
Grand Poitiers se mobilise pour un territoire zéro chômeur de longue durée
Des bons cadeaux au secours des restaurants de l’agglo paloise
Afin d'assurer le déploiement de la campagne de vaccination contre la COVID-19, les Pyrénées-Atlantiques comptent 11 centres de vaccination. Dans l’arrondissement de Pau sont concernées les communes de Pau, Lescar et Arzacq, dans l’arrondissement d’Oloron-Sainte-Marie: celles Mauléon et Arudy et dans l’arrondissement de Bayonne, celles de Bayonne, Biarritz, Anglet, Cambo-les-bains, Saint-Jean-Pied-de-Port et Saint-Jean-de-Luz. Réservations vaccinales, via le numéro vert national 0 800 009 110 ou sur les plateformes internet de Doctolib Vaccination, KelDoc de NEHS et Maiia et la plateforme nationale www.sante.fr,
Plusieurs communes de l’Agglomération se sont portées volontaires pour accompagner les vaccinations en créant des centres grand public. Un premier sera ouvert du 18 au 22 janvier au centre municipal de vaccination de La Rochelle, 2 rue de l’Abreuvoir. A partir du 25 janvier, deux centres seront installés à l’Espace Encan à La Rochelle et à l’hippodrome de Châtelaillon-Plage, 9 rue des Sulkys. Les vaccinations seront assurées par les professionnels de santé du lundi au vendredi, sur rendez-vous.
Le 10 décembre, le ministre de l'Éducation Nationale affirmait que le système éducatif français "n'est pas hostile aux langues régionales". La Région Nouvelle-Aquitaine s'appuyant sur les chiffres du rectorat conteste : "La réforme des lycées a brutalement dévalorisé l'attractivité du basque et de l'occitan en option." Sur les rentrées 2019 et 2020, les effectifs en occitan ont fondu dans les académies de Bordeaux (-32%) et Limoges (-44%). Pour le basque la baisse est de 48%. Charline Claveau, élue en charge des langues régionales, appelle à ce qu'un amendement soit apporté à la réforme du baccalauréat "dès maintenant".
"Depuis l'annonce du gouvernement, on me demande pourquoi on ne proteste pas contre ce couvre-feu, puisque la situation est meilleure chez nous. Il faut être responsable ! Notre situation s'est dégradée et notre hôpital est sous-tension, notamment à cause des déprogrammation du printemps", a relaté le maire lors d'une conférence de presse vendredi. Si les horaires de transports restent inchangés par le couvre-feu, ceux de la médiathèque et des déchèteries seront avancés d'une heure.
Du 18 au 29 janvier, la Maison de l'Europe du Lot-et-Garonne célèbre l'amitié franco-allemande. 18 ans après la création de la Journée franco-allemande par Jacques Chirac et Gerhard Schröder en 2003, cette amitié entre les deux pays est célébrée chaque 22 janvier. L'évènement organisé par la Maison de l'Europe 47 prévoit diverses animations, parmi lesquelles des quizz en ligne, de la culture et un jeu concours qui sera lancé le 22 janvier prochain.
L'hommage national rendu, à côté des plus modestes dans nos villes et villages, à l'occasion de ce Centenaire, ne prend sa vraie valeur, à nos yeux, que par la parole aussi émouvante que forte de ces jeunes lisant, sous l'Arc de Triomphe, ces témoignages de combattants, devant ce parterre de chefs d'Etat et de gouvernement tenant entre leurs mains le pouvoir de vouloir la paix plus que la guerre. Ou par le sens profond de ce "Boléro" bouleversant de Ravel, interprété par l'Orchestre des Jeunes de l'Union Européens, sous la baguette du russe Vasily Petrenko. Des mots, des sons comme en écho à ces cris de millions de morts qui hanteront à jamais la mémoire d'un pays et de son peuple. De ces grands parents, partis à la guerre dans un moment de patriotisme dont nous n'avons plus idée, avec la conviction qu'elle ne durerait pas. De ce patriotisme dont Emmauel Macron a eu raison de rappeler "qu'il était l'exact contraire du nationalisme".
Oui, à entendre et voir ces jeunes entourer le tombeau du soldat inconnu, comment ne pas dire et redire que la culture reste la meilleure réponse aux défis du moment. Qu'il faut y consacrer tous les efforts et moyens et accompagner cette génération Erasmus qui, revenant au pays, saura y porter les valeurs de la démocratie et de l'humanisme. Aimer Stefan Zweig et Albert Camus, Rainer Maria Rilke et Guillaume Appolinaire... A cet égard, soyons conscients des dangers qui menacent cette Europe, qu'au sortir d'une guerre que l'on ne croyait plus possible, après la boucherie monstrueuse de 14-18, Français et Allemands, en premier, ont voulue. Non point que nous ne devions craindre, de nouveau, de connaître demain l'apocalypse sur le Vieux continent mais, plutôt, de subir les conséquences d'un repli sur soi, d'un enfermement des pays membres de l'Union, travaillés par la peur d'une immigration continue, alors que la seule et vraie réponse à lui apporter c'est de consentir tous les efforts pour le développement dans les pays du sud. Un défi d'ailleurs indissociable de la nécessaire lutte mondiale contre le réchauffement climatique. N'en déplaise à Donald Trump.
Joël Aubert
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