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Des bus de Grand Poitiers roulent au BioGNV
Martin Petit, tétraplégique, redonne un sens à sa vie avec Hoyat
Les Palois invités à relever un Défi Biodiversité
Depuis le 23 février, la Ville de Limoges a mis a disposition de l’Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie de la Haute-Vienne 12 chalets place de la Motte pour permettre aux restaurateurs d’organiser de la vente à emporter. Face au succès rencontré, cette opération « Le Village des Restaurateurs » est prolongé du 9 au 21 mars. Le Village est ouvert du mardi au jeudi de 10h à 14h et du vendredi au dimanche de 10h à 15h.
Ce samedi 6 mars dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes, le CCAS de Poitiers organise une collecte de protections hygiéniques pour lutter contre la précarité menstruelle. De 14h à 17h30, des boites seront disposées dans deux Carrefour City du centre-ville (rue Carnot et place du marché), ainsi que dans le Monoprix à l'entrée du centre commercial des Cordeliers. Des bénévoles seront présents pour accueillir, informer et échanger sur le sujet de la précarité menstruelle.
Nous vous en avions parlé le 9 février dernier dans cet article. The Beggar’s Ensemble avait enregistré en vidéo au conservatoire de Grand Poitiers Gin Craze, un récital de morceaux de musique baroque composés par des Anglais dans la première moitié du XVIIIe siècle. Le concert (de 58 minutes) est sorti sur la page Facebook de l'ensemble, celle de Grand Poitiers et celle du conservatoire de Grand Poitiers ainsi que sur la page Youtube de Beggar’s Ensemble.
Lors de sa dernière commission permanente, la Région Nouvelle-Aquitaine a décidé de soutenir le syndicat mixte Cyclad à Surgères en Charente-Maritime à hauteur de 60 000 euros pour la création d’un tiers-lieu hybride. Ce tiers-lieu a pour objectif de développer les nouvelles formes de travail, de créer des ateliers partagés et d’accompagner la création de nouvelles activités. Sur 1 200 m², le lieu comprendra notamment un atelier bois destiné au prototypage et à la réalisation d’ateliers
Le 1 000e agent du Centre hospitalier de la Côte basque à Bayonne a été vacciné contre le Covid en début de semaine. Un médecin réanimateur qui est en première ligne face à la prise en charge des patients les plus atteints par cette maladie. La campagne avait débuté le 6 janvier avec le vaccin Pfizer pour les agents de plus de 50 ans, ou présentant un risque accru. Un rythme que l'introduction, le 7 février, du vaccin AstraZeneka a accéléré. A ce jour, en moins de deux mois, au moins un tiers de l'effectif de l'hôpital basque aura reçu une première injection.
Cet exercice, voulu pour prolonger l'intervention de l'hôte de l'Elysée, participait de la gestion politique d'une crise sanitaire qui a pris au dépourvu le pouvoir exécutif et a mis en exergue les carences de notre outil hospitalier pour faire face à l'afflux de patients en grand danger. Si n'avait été l'extraordinaire mobilisation des soignants et de tous ceux, en réserve ou en formation, qui les ont rejoints, ainsi que la capacité d'accueil des établissements de régions moins touchées que le Grand Est ou l'Île de France, notre Nouvelle-Aquitaine notamment, le nombre des victimes serait bien plus lourd. Ce que l'on ne disait guère, non plus, mais que le ministre de la Santé a osé dire en manière de cri d'alarme, « Faites-vous soigner ! » à ces autres patients qui n'osent plus pousser la porte du cabinet médical, ou conserver une relation forte avec leur lieu de soins, était de la plus haute importance. Car ne le sous-estimons pas : la peur de contracter le Covid 19 détourne nombre de malades de se faire soigner; le constat est réel, y compris pour des patients atteints de pathologies très graves, pour lesquelles les examens réguliers, et les consultations, sont indispensables.
Il est vrai qu'il subsiste tant d'interrogations sur ce virus et sa durée de nuisance, ne parlons même pas des espoirs encore ténus qu'autorisent les essais cliniques de certaines molécules, que le confinement absolument nécessaire a sa contrepartie : l'absence de quelques 60 millions de Français composant la population non immunisée.
Pouvait-on faire autrement que cette prolongation jusqu'au 11 mai ? On a bien compris que la décision du pouvoir, de façon difficilement avouable, reposait sur le risque d'effondrement de l'économie. Et ce n'est pas le propos du Premier ministre, appelant à maintenir le plus haut niveau de prévention après le déconfinement, qui nous convaincra du contraire. Une précaution qui ne devrait pas être prise à la légère par ces citoyens - mais le sont-ils vraiment ... - qui par un beau samedi d'avril se laissaient aller, comme si de rien n'était, à partager un pot dans un cours fréquenté de Bordeaux ou par ces jeunes, à la campagne, qui y vont joyeusement de l'apéro, en terrasse et sans observer de distance...Non, nous ne sommes pas sortis d'affaire et il n'y a pas que les personnes âgées et, ou « vulnérables » qui vont devoir faire preuve du sens de la responsabilité.
Joël Aubert
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