La Rochelle : retour en images sur l'inauguration de l'hôtel de ville
La robotique au service de l'agriculture de demain
Municipales à Bordeaux : l'équipe de campagne de Nicolas Florian lance les hostilités
Florent Merit, maire du Village by CA Aquitaine, « Un job passionnant ! »
Pessac " sur un petit nuage "
Ce 6 décembre, François Bayrou a été mis en examen pour " complicité de détournement de fonds publics" dans le dossier des emplois du parti centriste au Parlement européen. Pour son avocat Pierre Cornut-Gentille cette décision a été prise " à l'encontre de tous les éléments de preuve produits, la suite de l'instruction démontrera qu'elle est totalement infondée"
Pour la saison 2019-2020, tapis rouge pour les Foires Grasses, salle Brassens à Brive. Dès samedi 7 décembre, les chefs des tables Gaillardes présenteront plusieurs recettes pour les repas de fin d’année. Le 14 décembre, la salle Brassens accueillera la Foire primée aux chapons, le 1er février, celle des oies et canards et le 7 mars la Foire grasse des producteurs et commerçants de gras.
En raison de la reconduite du mouvement de grève des cheminots ce vendredi 6 décembre, la SNCF annonce à nouveau un trafic "très perturbé" sur les voies ferrées de Nouvelle-Aquitaine. Pour les TER, 10 seulement circuleront : 3 A/R Bordeaux-Arcachon et 2 A/R Bordeaux-Agen, 292 autocars de substitution seront répartis sur l’ensemble du territoire. Côté TGV sont assurés 3 A/R Bordeaux - Paris, 1 A/R OUIGO Bordeaux- Paris, 1 A/R La Rochelle-Paris et 1 A/R Toulouse-Paris. Enfin sur les Intercités seul 1 A/R Brive-Paris sera en circulation.
Les bacheliers de la filière "vente en vins et spiritueux" du lycée Claire Champagne de Ségonzac organisent pour la deuxième fois leur salon des vins, samedi et dimanche de 10h à 18h. Une quarantaine de stands se dresseront dans la salle des distilleries de l'établissement, avec des appellations de toute la France. Pour les étudiants qui ont sélectionné les vins présentés, c'est une façon de mettre en pratique leur connaissance. Entrée gratuite. Adresse : rue Aimé-Richard à Ségonzac.
Il y a quelques jours, La Fédération des Photographes Professionnels Européens (FEP/ Federation of European Professional Photographers) s'est réunie à Prague, en République tchèque. A l'issue de cette 40e session de qualification, la FEP a décerné le titre de "Maître européen de la photographie" à Francis Selier, dont le studio est basé à Angoulême depuis 27 ans. Au total, parmi les 50 000 studios de photo européens, 500 ont obtenu le titre de "Photographe Européen Qualifié" (QEP). À ce jour seuls 90 des plus grands photographes européens ont reçu la distinction suprême de "maître", couronnant un travail jugé au sommet de leur art.
En clair, Emmanuel Macron, non seulement ne renie rien de ces choix initiaux mais il les légitime, au nom d'une analyse de l'état du monde qui est sans la moindre complaisance à l'égard de la Chine et des Etats-Unis de Trump qu'il n'a pas cités mais qui se seront reconnus. Le multilatéralisme dont il s'était fait le porte-parole, lors des cérémonies du centenaire de la grande guerre, lui semble mal en point et, dans son élan, il s'est même autorisé une évocation peu amène du capitalisme libéral et financier. Un effet de l'air du temps ? Attendons pour voir qu'elle sera son attitude face à quelques dossiers industriels où l'Etat doit jouer son rôle.
Mais, puisque nous assistions à une cérémonie de vœux il convient de s'arrêter, un instant, sur les trois qu'il a choisis de faire. Les mots d'abord : vérité, dignité, espoir.
Vérité, pour commencer ce n'est pas si mal venu au moment où les rebonds de l'affaire Benalla sont tout à fait insupportables et dont on espère qu'ils vont faire l'objet d'une mise au point précise. La vérité, dans la présentation macronienne, s'est voulue surtout correctrice sur le mode « la France ne va pas si mal : cessons de nous déconsidérer.. L'ennui, si l'on a bien compris c'est que cela coûte bien trop cher. Là-aussi attendons ce que le président va nous écrire dans quelques jours avant le grand débat promis. Et, pour faire bonne mesure, notons qu'il a défendu l'importance de la vérité de l'information, avec des accents qui ne lui étaient pas familiers, plaidant aussi pour l'écoute, le dialogue et l'humilité...Oui l'humilité...
Dignité, enfin, pour chaque citoyen avec des droits et devoirs de sorte « que chacun se sente acteur de la vie de la Nation » L'occasion lui était donnée de rappeler que la république ne peut accepter les déferlements de haine, au premier rang desquels les provocations antisémites, dont ces dernières semaines et singulièrment ces derniers jours ont été le théâtre.
Espoir enfin, celui d'un homme qui s'est engagé, dès ces premiers pas et mots, dans un défi européen que l'actuelle crise sociale percute brutalement. Comprenons qu'il ne veuille pas y renoncer et acceptons l'intention qu'il évoque d'un « projet européen renouvelé ». Pour lui donner la plus petite chance, sur fond d'élections européennes mal engagées pour la République en Marche, encore faudrait-il que la parole de cet Emmanuel Macron qui nous assure in fine « je suis au travail » apporte de vraies réponses. Et qu'il ait redressé, avec l'humilité qu'il met en avant, son crédit d'homme d'Etat, ici et auprès de nos voisins
Joël Aubert
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