Sécurité : les maires de la rive droite tirent la sonnette d’alarme
Pour Jean-Claude Leblois, la crise sanitaire est « comme un jour sans fin »
Goya, derniers jours à Bordeaux
Florence Jardin (présidente de Grand Poitiers) : renforcer la proximité et la solidarité
Des bons cadeaux au secours des restaurants de l’agglo paloise
Les maires du Grand Projet des Villes rive droite - Bassens, Cenon, Floirac et Lormont - estiment que « le centre de vaccination de la clinique Bordeaux Tondu à Floirac ne suffira pas si on veut proposer un service efficace ». Selon eux, la problématique des transports pourrait dissuader les habitants de Bassens, Carbon-Blanc, Ambès ou encore Ambarès-et-Lagrave. Ainsi, les élus demandent l'ouverture d'un centre de vaccination à Lormont, « permettant aussi de soulager les soignants ».
Après son directeur pendant l'été 2020, la Mission des Offices de Tourisme de Nouvelle-Aquitaine (MONA) change de président. En effet, Nicolas Martin, directeur de l'office de tourisme du Pays Basque a pris cette fonction ce mardi 19 janvier. Il succède à la landaise Frédérique Dugény, présidente de la Mona dix-sept ans durant. Mona est un réseau de 171 organismes de tourisme, représentant plus de 1 400 salariés.
Elle a débuté le 18 janvier. Le Conseil départemental de Gironde commence à vacciner les personnels soignants et les publics prioritaires à la Maison du Département de la Promotion de la Santé (2 Rue du Moulin Rouge, à Bordeaux). Ainsi, les personnels soignants de plus de 50 ans, ceux présentant des signes de comorbidité et les personnes de 75 ans et plus peuvent s'inscrire sur Doctolib pour se faire vacciner dans l'établissement public, « dans l'attente de la mise en place d'autres centres de vaccination sur la Métropole et le département », indique la collectivité.
Du 25 au 30 janvier, les pôles formations de l'Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie ouvrent leurs portes du 25 au 30 janvier pour inviter à découvrir les métiers de l'industrie. L'UIMM Adour met ainsi ses métiers en valeur, alors même que l'État a lancé le programme 1 jeune 1 solution dans le cadre de France Relance pour aider les entreprises à recruter des apprentis. Au Pôle formation Adour, 580 apprentis ont choisi la filière industrie pour un taux d'insertion de 86%.
Ils ne lâcheront rien! C'est en substance ce qu'on fait savoir au gouvernement les représentants de l'interprofession du cognac, le BNIC, suite aux dernières annonces. D'une part, ils réitèrent leur demande que l'Etat négocie pour obtenir la suspension immédiate des nouveaux droits de douanes américains sur les vins et spiritueux. D'autre part, ils seront attentifs au "détail" des aides annoncées le 14 janvier à destination de la filière, "impactée par la pandémie", et pas seulement.
Pointer les propos du président du Sénat c'est, n'en doutons pas< anticiper des lendemains de l'après 11 mai difficiles et très tendus. La présentation, ce mardi 28 avril à l'Assemblée nationale, par le premier ministre du dispositif de sortie du confinement donnera le ton et ce n'est pas la réserve du Conseil scientifique, renvoyant au politique la responsabilité de la réouverture de l'école, histoire d'acter son désaccord, qui calmera le jeu.
Dans ses interventions successives, l'hôte de l'Elysée a semblé vouloir esquisser une nouvelle donne sinon prendre conscience des conséquences très rudes que la crise entraîne et de l'aggravation des fractures sociales qu'elle souligne. Notons, d'ailleurs, que dans la justification de la réouverture sous conditions de l'école figurait, au premier plan, la crainte de voir les discriminations territoriales et de quartiers souligner, au point d'êtres propices à de futures tensions et dérapages. Les enjeux, on l'a compris, n'étaient pas que sociaux et culturels; ils étaient au moins autant économiques.. Et, sur ce terrain, le pouvoir a voulu montrer sa détermination en ajoutant les milliards aux milliards pour sauver ce qui peut l'être, avec comme dernier exemple en date, le soutien à Air France- KLM. Pour autant il restera, par définition, tributaire du soutien objectif des majors de l'économie. Et, lorsqu'on entend les propos, pour le moins malhabiles, du patron du Medef appelant les Français à travailler davantage, comme s'ils avaient besoin d'être houspillés en ce moment, et puis en rajouter une couche en sommant le gouvernement d'avoir à renoncer à son programme environnemental, l'union nationale risque de prendre des allures de combats sans modération.
S'il est pourtant un terrain où l'intelligence collective appellerait, à défaut d'union béate, un vrai consensus, c'est certainement la remise à plat de notre modèle économique, le choix de mettre le paquet sur la transition écologique avec ce que cela implique en matière d'énergies, de transports, de soutien à l'investissement dans des secteurs stratégiques délaissés comme celui de la santé, d'aides à une agriculture en pleine mutation... On aurait garde d'oublier la nécessité de renforcer la décentralisation qui a souvent fait preuve, en ces temps de crise, de son efficacité et qui n'attend pas, comme la Région Nouvelle-Aquitaine le démontre, ces jours-ci, en lançant un Appel à Manifestation d'Intérêt (AMI) " pour soutenir les efforts de recherche et accélérer les innovations à même de lutter contre le Covid-19 et de préparer l'après-crise. "
Joël Aubert
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