Les Rencontres à lire de Dax fêtent leurs 10 ans
Fabien et David Prudhomme ont su se diversifier et rebondir
Le CIVB part à la reconquête
Rendez-vous à la ferme les 28 et 29 avril
Aqui! au Salon de l'Agriculture Nouvelle Aquitaine
Ce sera ce vendredi 27 avril à 18h30, au Café Maritime à Bordeaux (1), dans la foulée de l'Assemblée générale des Amis d'Aqui.fr nous débattrons, à l'heure où la précarité ne recule pas, du thème « La solidarité alimentaire : du don à l’engagement » avec la participation de Pierre Pouget, vice-président de la Banque alimentaire de Bordeaux et de la Gironde et de ses partenaires de la distribution. 1. Tram B : Cité du Vin
Le Conservatoire des REssources GÈNEtiques du centre ouest atlantique organise les Journées du Patrimoine Vivant, les 28 et 29 avril au square Bobinec à La Rochelle. Le CREGENE fédère l'ensemble des associations de sauvegarde des races et variétés locales. Cette manifestation a pour objectif de sensibiliser les citoyens à la protection de la biodiversité élevée et cultivée. Sont attendus de nombreux animaux et producteurs, ceux-ci viendront à la rencontre du public et feront déguster leurs produits.
La CCI de Bordeaux Gironde souhaite renforcer ses actions en matière d'accueil touristique dans le département. En plus d'un programme local gratuit (composé d'un "memento de l'accueil" et de mini-formations) d'une appli et d'un guide (Bordeaux Shopping), la CCI lance la première édition des "Trophées de l'accueil", concours annuel pour les professionnels du tourisme et les commerçants. Récompensant quatre catégories d'activité (commerçants, restaurateurs, hébergeurs, gestionnaires d'activité), les inscriptions pour ce concours, dont la remise des prix aura lieu en novembre, se terminent le 30 juin.
La CCI de Bordeaux Gironde a confirmé ce lundi le lancement d'une étude d'impact indépendante (mais qu'elle finance) pour mesurer l'impact réel du projet de village des marques de Coutras. Ce projet ambitieux piloté par Vinci comprend immobilier et la société autrichienne "Im Wind" comprendra 22 000 mètres carrés de surfaces commerciales, pour un coût avoisinant les 80 millions d'euros. La commission départementale d'aménagement commerciale devrait, elle, rendre son avis sur la pertinence d'un tel projet dans les semaines à venir, gageons que l'étude d'impact l'y aidera peut-être.
Du 2 au 19 mai, la ville de Mont-de-Marsan invite les collégiens et lycéens à venir à la Médiathèque afin de réviser leurs examens de fin d'année. Des professeurs seront présents pour répondre à leurs questions et les conseiller. Entraînements, conférences, ateliers textuels, sonores et audiovisuels et même massages, tout sera prévu pour que les futurs diplômés puissent réviser dans des conditions optimales. Renseignements sur place ou 0558460943.
Certes elle occupe une place importante, de l'ordre du tiers dans les accidents, mais on ne le dit pas assez, c'est de la conjugaison de la vitesse, souvent de l'hypervitesse, et de l'alcoolémie, aggravée par l'absorption de stupéfiants que surviennent les accidents les plus graves. Et, même s'ils ne sont pas les seuls exposés, les plus jeunes des conducteurs sont, en proportion, deux fois plus concernés par ces drames de la route.
La sécurité routière, dans ce pays, est traditionnellement considérée par les pouvoirs publics sous l'angle principal de la répression. Et ce malgré l'existence de la Prévention routière qui, depuis plus de soixante ans, accomplit un travail remarquable, notamment auprès des écoles et établissements. Il est vrai que la France a affiché dans les années 70, et trop longtemps encore après, des chiffres monstrueux, jusqu'à des 18.000 morts et qu'il a fallu renforcer l'arsenal répressif pour faire diminuer cette épouvantale comptabilité. Près de 4000 morts encore par an, ces dernières années, mais beaucoup de blessés graves où la vitesse joue à plein, associée à des comportements d'une rare incivilité. Au moment de franchir une nouvelle étape, à partir de juillet prochain, le gouvernement dont le premier ministre revendique l'engagement "courageux et salutaire" serait cohérent avec son objectif en lançant une grande campagne où il ferait appel, aussi, à un effort de citoyenneté. Et encouragerait certaines initiatives qui ont donné des résultats. Trop de jeunes continuent par exemple de s'abîmer au coeur de la nuit, ou au petit jour, au sortir des discothèques et de soirées arrosées et, même si des progrès ont été permis par des opérations comme "Volant de nuit" et "Capitaine de soirée" il y a beaucoup à faire et cela mériterait des incitations nouvelles. Et puis n'oublions pas les piétons dont le nombre de morts, en ville en particulier, témoigne à charge contre la suffisance, en général, de l'automobiliste. Là aussi c'est affaire de citoyenneté et de ce "vivre ensemble" dont on parle si souvent, appliqué à la politique de la ville. Nous ferions bien de nous inspirer de l'attitude de nos voisins belges qui, quoique au volant, restent piétons dans l'âme et arrêtent leur véhicule lorsqu'un piéton s'engage sur la chaussée. Et si nous nous y mettions? Avec parfois l'espoir d'un petit geste de remerciement - ça arrive - qui, alors, fait joliment "société".
Joël Aubert
Je partage tout à fait votre analyse. C'est plus facile d'agir sur du concret que sur de l'abstrait. C'est la même chose pour les riverains de la LGV ...Liséa et l'Etat parlent de valeur de bruit, les riverains parlent de gêne. Les pour et les contre la réduction de vitesse se battent à coups de stat, d'exemples à l'étranger ...tous ont raison mais tous disent que c'est un problème de comportement. Agissons donc sur l'éducation, le respect de l'autre. Je ne sais combien va coûter le remplacement des panneaux (je viens d'investir en bourse sur les fabricants)...et si on mettait déjà cette somme sur la formation ? Une idée comme une autre !
Dany | 15/01/2018bien d'accord avec cet édito. Les accidents sont beaucoup plus souvent le fait d'imprudences, d'incivilités et de comportements à risques, que de la vitesse elle même. Il serait bien plus positif d'apprendre aux automobilistes à se conduire au volant d'un véhicule, c'est une affaire d'éducation. Mais évidemment ça ne rapporte rien en terme d'amende.Et cette mesure ne risque-t-elle pas d'aggraver le risque d'accidents si, en même temps la vitesse limite des camions n'est pas abaissée elle aussi ?
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