Bordeaux : en 2021, priorité au social et à l’emploi
À Limoges, la caserne Marceau vitrine pour Action Cœur de Ville
Bordeaux : Gabriel Attal au chevet des étudiants
Cenon : vers une école de plus en plus inclusive
Des bons cadeaux au secours des restaurants de l’agglo paloise
Suite à l intervention du Premier Ministre, Jean Castex et d'une partie du Gouvernement ce jeudi soir, la Nouvelle-Aquitaine à l'image de l ensemble du territoire français se voit désormais appliquer un couvre-feu dés 18h, à compter de ce samedi 16 janvier. En outre, face aux variants du virus, il a été annoncé un renforcement des protocoles dans les cantines scolaires, lieux les plus sensibles pour la transmission du virus. Le mode hybride est quant à lui prolongé dans les lycées au-delà du 20 janvier. La vaccination des plus de 75 ans et des personnes sensibles restent maintenue au 18 janvier.
La Ville de Périgueux propose durant les vacances d’hiver des activités sportives, culturelles et de loisirs à destination des jeunes de 6 à 15 ans. Du 8 au 19 février, les enfants pourront profiter d’ateliers artistiques, de mini-tournois sportifs ou encore de jeux d’enquêtes. Toutes ces activités sont gratuites, et les activités sportives se font sur inscription préalable sur le site de la Ville.
Les Chambres d’Agriculture de Charente-Maritime et des Deux-Sèvres organisent une collecte de pneus usagés. Les agriculteurs ou éleveurs intéressés par cette démarche, intitulée « Ensivalor » et qui a pour objectif de recycler les pneus à un coût abordable, doivent se faire connaître sur le site de la Chambre d’Agriculture avant le 19 mars 2021.
Suite au Conseil d’Administration du 12 janvier dernier, Jean-Marc Ogier a été réélu Président de La Rochelle Université. Président de l’université depuis 2016, Jean-Marc Ogier a été réélu face à Sylvain Marchand, Professeur des universités en Informatique. Le bilan de ces 4 premières années de mandat révèle une croissance des effectifs étudiants, une chute du décrochage en premier cycle universitaire et une augmentation du nombre d’étudiants à statut spécifique.
Grand Poitiers a reçu fin 2020 le trophée Inclusif & Citoyen qui vient récompenser la Communauté Urbaine pour l’ensemble de ses démarches en matière de numérique et de participation citoyenne au travers de ses multiples initiatives. Il s’agit notamment de la concertation citoyenne du Plan Climat Air Energie territorial qui a réuni 1000 contributions et 4500 votes.
Las ! Pour sa côte de popularité, elles sont toutes du même moule, profondément libéral. Ce qui n'est pas forcément toujours un gros mot mais qui dans un pays où, depuis des décennies, la démocratie a tant bien que mal tenu le choc et supporté un grave chômage de masse, prend des allures de provocation aux yeux de ceux, nombreux, qui ont préservé l'essentiel. Un niveau de solidarité qui sans éradiquer la pauvreté a, ici et là, maintenu le minimum. On pense, en particulier, aux départements à qui l'Etat a refilé le RSA dont le nombre des bénéficiaires n'a cessé de croître. Alors quand Emmanuel Macron, le 13 juin, lâche : « On met un pognon de dingue dans les minima sociaux et les gens ne s'en sortent pas » les Français sont interloqués. Le jugement présidentiel, sur le mode accusateur à l'égard de ceux et celles qui font de leur mieux, l'emporte largement sur ce qui est le fond de l'approche libérale d'un certain Emmanuel Macron : changeons tout cela pour ne pas dire autrement : « foutons tout cela en l'air ». Provoquer pour faire avancer les choses ? Mais où sont les réponses possibles et à quel horizon ? Songeons à la fronde que l'imposition unilatérale d'une norme de dépense possible, l'an prochain, pour les collectivités a provoquée...Que des élus responsables, comme un Dominique Bussereau, président de l'Association des départements de France aient crié au scandale, était significatif d'une coupure entre la vision d'en haut et les réalités d'en bas. Et ce, d'autant que l'Etat s'est bien gardé de rappeler qu'il n'avait pas tenu ses engagements de compensation, pour le RSA notamment. Après cela, Emmanuel Macron s'est cru obligé d'annoncer son intention de promouvoir un pacte girondin avec les territoires...Et ceux-ci d'attendre, en pensant surtout que le temps de la libre administration des collectivités, inscrite dans la constitution de la République, sera sans doute chaque jour davantage derrière eux. Que ce président qui a fait le choix de mesures fiscales préférentielles pour les plus fortunés de ce pays, demande un effort à ceux qui sont en première ligne, au nom de la réduction de la dette publique, sans monter l'exemple, et sans demander à son premier ministre de calmer la morgue de certains de ses ministres est insupportable pour beaucoup de nos concitoyens. Les propos menaçants d'un Gérald Darmanin, ministre des Comptes publics, ces jours-ci, lors d'une venue en Médoc en ont choqué plus d'un. A un Edouard Philippe qui veut gagner « la course contre la montre face à la colère des citoyens », à force de ténacité on a envie de souffler : dites au président d'arrêter ses provocs et d'aller, en liaison avec vous, à la rencontre des gens de terrain et pas seulement pour leur annoncer ce qui va les concerner avant même qu'ils n'aient été associés au travail. Là est le grand danger, celui d'une rupture profonde qu'Emmanuel Macron a jusqu'ici beaucoup sous-estimée.
Joël Aubert
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