Le massif forestier landais meurtri par l’intensité de la tempête


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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 25/01/2009 PAR Joël AUBERT


C’est le même spectacle de désolation qu’en 1999, là où la tempête a soufflé le plus fort. Des pins couchés et imbriqués les uns dans les autres, des troncs de pins prêts à être exploités qui ont été cassés à un, deux ou trois mètres du sol, les fibres du bois éclatées et vrillées en même temps. Des têtes d’arbres également arrachées dont il ne reste qu’un tronc, silhouettes géantes qui rappellent les lendemains de la catastrophe d’il y a un peu moins de dix ans.
Sur une forêt aussi vaste, un massifd’un million d’hectares, il est difficile d’établir une estimation précise du nombre d’hectares touchés. Et encore faut-il distinguer les zones où l’état des plantations demandera une exploitation totale des chablis et celles où des parcelles partiellement endommagées devront être nettoyées.
Port de BiarritzLes bâtiments d’élevage aussi
Il n’y a pas que la forêt de production de pins maritimes qui a souffert de la tempête. Les bâtiments d’élevage en de nombreux endroits ont été endommagés, en particulier ceux abritant des volailles, poulets ou canards qu’il a fallu parfois reloger en toute hâte et dans des conditions délicates comme le confirme le landais Dominique Graciet, président de la Chambre régionale d’agriculture. Quant aux serres elles ont subi des destructions massives en Lot-et-Garonne à un moment, en particulier où la préparation de la saison de la fraise s’avançait. 

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