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PUBLIÉ LE 02/02/2014 PAR Felix DufourCe nouvel épisode illustre bien la « traitrise » des vagues de l’océan qui déroulent par séries. Certaines d’entres elles peuvent se terminer par un déferlante. Ce qui se produit régulièrement.
Les policiers et employés municipaux avait surveillé quasiment toute la nuit tout le secteur du littoral biarrot. S’ils apprenaient que le Port Vieux semblait avoir été épargné, une nouvelle leur parvenait : comme lors de la tempête Hercule, sur la Grande plage, le muret de la plage du Miramar était emporté et l’eau faisait éclater les baies vitrées de la piscine intérieure du Sofitel Miramar, située à la hauteur du promenoir.
Les pieds dans l’eau à Bayonne7 heures Petit Bayonne. Les jours et les scénarii se suivent dans le secteur de la Nive qui, au montant, déborde sur les quartiers alentour. Ainsi les rues des Cordelier, Marengo sont envahis pas les eaux au petit matin. Les énormes boudins d’eau le long des quais Chahot et Jaureguibery se révèlent une fois de plus impuissants face à l’écoulement des eaux qui se glissent et atteignent les entrées des nombreux restaurants qui jalonnent la Nive. L’eau n’a cure des sacs et des planches de bois posées depuis quelques jours. Le SDIS qui effectue des rodes ne peut aussi que le constater.
Voilà plus d’une heure que la marée descend. L’eau de la Nive atteint preque le parapet du pont Mayou, près du confluent de l’Adour et de la Nive. Et les inondations du fleuve grossi en aval se développent dans le quartier de la sous préfecture et vers le pont Grenet. Tant et si bien que les policiers municipaux interdisent l’accès du centre ville par ses axes principaux, les Allées Marines, les bien nommées dans ces circonstances et le BAB.
