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l'avenir ne repose pas sur les paris fait par RFF et appuyes par Rousset et Juppe. L'avenir s'appuie sur des faits: des moyens de communications differents diminuent l'interet des deplaceents, des moyens de transports reellement novateurs sont testes ailleurs qu'en France. Ils sont moins chers, moins polluants et plus efficaces: La LGV n'est que la continuation du TGV et date du siecle passe. Laissons de cote ceux qui ne revent que du passe..
Thierry Merger | 08/06/2015Je rejoindrais BAP pour dire que le critère de la rentabilité strictement financière n'est pas suffisant.
Les études économiques des projets de transport intègrent d'ailleurs normalement les bénéfices non strictement financiers, de même que les coûts non financiers (écologiques par exemple).
Mais là où je diverge de BAP, c'est que je pense qu'on peut atteindre un meilleur rapport avantages/coûts avec une amélioration des voies ferrées existantes : un transport ferroviaire de voyageurs entre des villes moyennes nécessite surtout des fréquences de train suffisantes, de tôt le matin jusque tard le soir, une fiabilité horaire impeccable, des prix attractifs, de bonnes correspondances... Des pointes de vitesse à 300 km/h, ça n'apporte pas grand chose et c'est ça qui coûte très cher ! Des vitesses commerciales à 150 km/h entre des villes comme Dax et Bordeaux, c'est suffisant, et d'ailleurs la LGV projetée ne propose guère mieux sur Dax-Bordeaux, vu qu'elle fait un grand détour.
Les TGV ne peuvent pas desservir toutes les villes, c'est anti-économique, c'est utiliser un marteau pilon pour enfoncer un clou.
Il faut à mon avis, contrairement à ce que dit BAP, faciliter les correspondances entre trains régionaux rapides et TGV roulant principalement sur LGV.
La LGV Paris-Bordeaux étant faite, ces correspondances devront avoir lieu à Bordeaux !
On aurait pu mettre en place le pendulaire comme les suisses je crois, qui peut atteindre 200 km/h et sinon prend les courbes à 120-150, là où le train normal oscille à 90-120, et ce sans changer l'infrastructure des rails. On eût fait une solide économie ET la vitesse nous aurait désenclavé depuis belle lurette !
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Economie |
26/06/2017
Après le succès de la LGV Paris - Lyon, certains élus locaux ont rêvé de bénéficier d’une desserte TGV, devenue pour eux, marqueur de modernité. C’est désormais chose faite pour Bordeaux.
Société |
16/06/2015
L’enquête publique sur le GPSO Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax s’est achevée, le rideau est tombé. Le verdict aussi. C’est un cinglant avis défavorable. Cinglant mais aussi exceptionnel.
Société |
01/04/2015
Ce lundi 30 mars dans la journée, le rapport de la Commission d'enquête publique sur la création de lignes grande vitesse entre Bordeaux-Dax et Bordeaux-Toulouse a été rendu publique. Verdict: avis défavorable à la Déclaration d'Utilité Publique du projet. Un avis, certes non contraignant, mais qui vient fortement alourdir le suspense quant à la réalisation du projet pour ses promoteurs, et porte pour le camp des "antis" la couleur de la victoire sur une bataille importante de leur longue guerre d'opposition. Autant dire que les réactions suite à ce rapport sont nombreuses, et affirment, pour chaque côté, derrière la satisfaction ou les regrets, que «la mobilisation continue».
Politique |
10/09/2012
Bordeaux et Toulouse, Aquitaine et Midi-Pyrénées, ont fait cause commune pour que la LGV Sud Europe Atlantique les desservent. Pour Bordeaux l'horizon se précise d'une arrivée depuis Paris et Tours en 2017. Mais après? Que pense-t-on au sein des régions de gauche et du nouveau pouvoir de la réalisation de Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne? Aqui.fr et Carré d'info les deux sites régionaux amis ont posé la question aux deux présidents d'Aquitaine Alain Rousset et de Midi-Pyrénées Martin Malvy. Alain Rousset évoque "le moi profond" du président Hollande et de possibles financements européens.