La Safer active sur un marché dynamique en Dordogne
Un Atlas pour raconter la diversité méconnue des paysages des Landes
Le dérèglement climatique pèse sur la santé au travail
L'Actualité du Roman : Rien pour elle
Le régime de Vichy expose sa propagande à Limoges
Quelle rentabilité ! Lisea a apporté moins de 20% du financement hors frais bancaires. On lui a promis une rentabilité de 15.08%. La rentabilité sera faite sur la totalité des péages encaissés, qui paieront aussi l'entretien pendant 50 ans.
Pour le reste autour de 80% du financement rien, de l'argent versé à fond perdu. N'est ce pas RFF devenue SNCF réseaux, en retournant dans le giron de la SNCF. La SNCF perdra donc sur deux tableaux, celui des trains, et celui des infrastructures qu'elle finance à fonds perdus.
De la part de la SNCF, ce n'est peut-être pas qu'une posture pour arracher une baisse des péages.
Le trafic train-voyageurs ne se porte pas très bien en général...
Et il faut prendre en compte aussi les trains qui continueront à circuler sur la ligne classique, et qui capteront une partie de la clientèle qui préfère ne pas gagner une heure et payer moins cher... Il me semble que la SNCF en a prévus.
Si on impose à la SNCF des trains déficitaires, c'est le contribuable qui finira par payer...
Reste l'ouverture à la concurrence. Les compagnies privées ont des coûts moindres que la SNCF et pourraient être à l'équilibre là où la SNCF ne peut pas l'être... Mais les gouvernements successifs n'osent pas...
Descriptions des paysages traversés par le TGV www.vu-du-train.com
Toutes les réactions sont soumises à validation de la rédaction d'Aqui avant leur
publication sur le site. Conformément à l'article 10 du décret du 29 octobre 2009,
les internautes peuvent signaler tout contenu illicite à la
rédaction d'aqui.fr qui s'engage à mettre en oeuvre les moyens nécessaires
à la suppression des dits contenus.
* champs obligatoires
Economie |
26/06/2017
Après le succès de la LGV Paris - Lyon, certains élus locaux ont rêvé de bénéficier d’une desserte TGV, devenue pour eux, marqueur de modernité. C’est désormais chose faite pour Bordeaux.
Société |
16/06/2015
L’enquête publique sur le GPSO Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax s’est achevée, le rideau est tombé. Le verdict aussi. C’est un cinglant avis défavorable. Cinglant mais aussi exceptionnel.
Société |
01/04/2015
Ce lundi 30 mars dans la journée, le rapport de la Commission d'enquête publique sur la création de lignes grande vitesse entre Bordeaux-Dax et Bordeaux-Toulouse a été rendu publique. Verdict: avis défavorable à la Déclaration d'Utilité Publique du projet. Un avis, certes non contraignant, mais qui vient fortement alourdir le suspense quant à la réalisation du projet pour ses promoteurs, et porte pour le camp des "antis" la couleur de la victoire sur une bataille importante de leur longue guerre d'opposition. Autant dire que les réactions suite à ce rapport sont nombreuses, et affirment, pour chaque côté, derrière la satisfaction ou les regrets, que «la mobilisation continue».
Politique |
10/09/2012
Bordeaux et Toulouse, Aquitaine et Midi-Pyrénées, ont fait cause commune pour que la LGV Sud Europe Atlantique les desservent. Pour Bordeaux l'horizon se précise d'une arrivée depuis Paris et Tours en 2017. Mais après? Que pense-t-on au sein des régions de gauche et du nouveau pouvoir de la réalisation de Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne? Aqui.fr et Carré d'info les deux sites régionaux amis ont posé la question aux deux présidents d'Aquitaine Alain Rousset et de Midi-Pyrénées Martin Malvy. Alain Rousset évoque "le moi profond" du président Hollande et de possibles financements européens.