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PUBLIÉ LE 09/01/2018 PAR Mélodie CastanJean-Jacques PUYOBRAU a profité de l’occasion, pour saluer les récompenses obtenues, par la ville en 2017, pour son fleurissement, mais aussi et surtout, pour son engagement dans le développement durable, et notamment dans la gestion de la ressource en eau et dans la suppression des produits phytosanitaires.
2018 est une année importante pour la ville de Floirac, de part l’ouverture prochaine, le 24 janvier, de la très attendue salle de concert Arena, mais aussi par le début de la construction du futur pont Simone Veil, qui reliera, l’Arena à la rive gauche bordelaise, à l’horizon 2020.
2018 : trois défis à relever pour Floirac
D’abord, « il faut maîtriser les effets de la dynamique métropolitaine » : il y a un enjeu démographique important pour la commune. Au dernier recensement, la ville de Floirac comptait 17 147 habitants. La commune a besoin de nouveaux logements, c’est pourquoi, un nouveau quartier va voir le jour, prochainement, grâce au projet Garonne Eiffel, tout en valorisant les espaces naturels.
Ensuite, Jean-Jacques PUYOBRAU a rappelé l’importance de « renforcer les liens entre les citoyens et les acteurs et les élus locaux. », et notamment grâce à la citoyenneté participative à laquelle il a eu recours, avec succès, en 2017. Grâce au budget participatif, 1000 floiracais ont sélectionné 5 projets, parmi les 24 proposés par les habitants, dont les arbres fruitiers, plantés, hier, sur l’Esplanade des Libertés.
Enfin, le Maire de Floirac met un point d’honneur à « maintenir la qualité des services publics », notamment grâce au travail de l’équipe de médiateurs sur l’ensemble du territoire.
« Je tiens à les remercier dans ce que Floirac va devenir . »
En guise de conclusion, le maire de la commune a adressé ces quelques mots de remerciement aux bénévoles et aux associations de Floirac présentes, dont le Secours Populaire, la FNACA, Relais Habitat, l’Epicerie Solidaire et Sport et Emploi, une association prônant l’insertion dans l’emploi grâce au sport, et présidée par Marie Jolie, avec le soutien de l’ancien rugbyman du CABB, et international,Jean Trillo.
