Mobilité, tranquillité publique et hygiène pour l’atelier de co-construction des Hauts de Lormont


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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 17/03/2018 PAR Emmanuelle Diaz

C’est donc au Pôle de citoyenneté de Lormont qu’a eu lieu, mercredi soir, l’atelier de co-construction. Un atelier qui faisant suite à la rencontre citoyenne du 28 février dernier et lors duquel ont été évoquées plusieurs thématiques ; dont des questions de mobilité et de stationnement. Notamment rue Abel Gance où un marquage au sol afin de faciliter le stationnement des véhicules est à l’étude. Une modification qui devrait aboutir, à terme à l’instauration d’un stationnement en chicane et la mise en place d’une zone 30, comme ce qui est prévu pour le Domaine de la Croix et Lormont Village ; l’objectif étant de rendre les trottoirs aux piétons. Jean Bac rappelant au passage, que remettre le stationnement alternatif sur la rue, serait aussi un bon moyen ; les travaux devant être financés par Bordeaux Métropole. « Pourquoi les gens ne garent-ils pas leurs voitures dans leurs garage ? Il faudrait vérifier pourquoi les voitures ne sont pas rentrées alors que chacun a un garage. Ça pourrait avoir une influence sur la taxe d’habitation et la taxe foncière », prévient-il.

Autre problème : la vitesse excessive des automobilistes avenue Gérard Philippe et surtout rue Agnès Varda où des radars pédagogiques équipés de modules anti-record, pourraient être installés. Seul écueil, leur coût : 2500€ pièce. Concernant le route d’Yvrac, des aménagements devraient voir le jour avant fin 2018 ; la piste cyclable devant déboucher sur un aménagement sécurisé et un muret devant servir de séparateur. Un refuge pour piétons sera également aménagé avant et après l’impasse Potier dont la voie sera d’ailleurs élargie.

La question des transports publics

Autre problème majeur évoqué lors de cette réunion : la question des transports publics, notamment au travers de leur fréquence et des difficultés de mobilité liées au vieillissement de la population ; « les plus de 80 ans pouvant représenter 30% de la population d’ici 2030-2035 », rappelle Jean Bac. Autre problème : l’insuffisance du nombre de stations Vlib sur le secteur. « L’installation d’une station au centre commercial a été évoquée il y a quelques mois, mais nous ne sommes pas classés comme prioritaires par la Métropole » déplore-t-il.

Les problèmes de tranquillité publique


Quant à l’accès à l’Ecole Verte, il a soulevé de nombreuses remarques, les pompiers ou la police ne pouvant intervenir en cas de problème, car la voie n’est pas dénommée. Une demande de dénomination devrait donc être faite et un stop apposé à son intersection avec la rue Abel Gance. Autre souci : les abords dégradés de l’École Verte en raison de rassemblements de jeunes. Solution envisagée ? Augmenter les patrouilles de police en leur signalant les réunions intempestives. Côté propreté, les dépôts d’immondices place Jean Vilar ont également posé question. Un problème pour lequel Jean Bac a proposé de déplacer les bornes vertes, celles-ci étant trop souvent installées sur les aires de grand passage et accueillant, en parallèle, de nombreux encombrants.

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