L’Aquitaine au coude à coude fête les dix ans de la Maison de l’Aquitaine


Andréa Schmitz
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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 06/02/2013 PAR Joël AUBERT

Il y avait bien sûr le président du Conseil régional, Alain Rousset plus lyrique que jamais pour évoquer l’Aquitaine et toujours aussi volontariste pour défendre becs et ongles la LGV, la ligne à grande vitesse, au-delà de Bordeaux et revendiquer une part du développement industriel de la région : « ce n’est jamais acquis, c’est Sisyphe »; parler aussi de la réhabilitation de la ligne de chemin de fer Pau-Canfranc qui se fera et rouvrira, ce qui sera un événement « international », se féliciter que la Maison de l’Aquitaine joue pleinement son rôle en matière de porte d’entrée des touristes vers nos territoires.
Il y avait là, aussi, deux ministres Michèle Delaunay et Alain Vidalies , deux présidents de conseils généraux Philippe Madrelle (Gironde) et Georges Labazée ( Pyrénées-Atlantiques) une figure de la V° République Yves Guéna, des parlementaires parmi lesquels on remarquait Frédérique Espagnac, Gilles Savary, Noêl Mamère,Jean-Louis Carrère, Germinal Peiro, des élus régionaux parmi lesquels Philippe Meynard, Alain Boudou, président du PRES de l’université bordelaise, le président de la CRCI d’Aquitaine Laurent Courbu, Michel Prugue président du  groupe coopératif Maïsadour, Guillaume Pépy le patron de la SNCF…
Accueillant celles et ceux, très nombreux, qui étaient venus à ce rendez vous marqué du sceau de la passion partagée d’un pays, Philippe Dorthe, président de la Maison de l’Aquitaine, avait rappelé l’outil très recherché qu’elle est devenue, citant en exemple ces 700 locations d’entreprises en 2012 à des tarifs préférentiels, comparés à ce qu’aurait été la location d’un hôtel parisien. Il évoquait aussi ces 4000 personnes reçues, venues préparer leurs séjours touristiques en Aquitaine. Une Maison où sous la direction de Daniel Margnes, l’esprit de service est joliment cultivé. Au menu de cette soirée conviviale, entre autres, les merveilles de Pierre Oteiza venues des Aldudes, des huîtres du Bassin, des vins des lycées agricoles et les chants du groupe Abesti sans lesquels la fête n’aurait pas eu les mêmes accents.

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