Marie Récalde : « gagner en l’honneur de François Hollande et de Michel Sainte-Marie »


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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 24/05/2012 PAR Solène MÉRIC

Si la candidature de Marie Récalde aux législatives était connue bien avant l’élection de François Hollande à la tête de l’Etat, cette victoire ne fait qu’accentuer le désir d’une mandature nationale pour la jeune femme. « Nous nous lançons derrière lui pour apporter une majorité forte à l’assemblée afin de pouvoir mettre en œuvre rapidement les mesures qu’il a proposées et qui l’ont fait élire. Nous souhaitons être acteurs du changement ». En toute logique, parmi les points que ciblent le duo socialiste « beaucoup se calent sur le programme de François Hollande »… sans pour autant oublier « les spécificités de la circonscription », économiques notamment.

« Un apprentissage de 5 ans »

S’il s’agit de mener le combat électoral pour faire honneur à François Hollande, le tandem n’oublie pas non plus de citer Michel Sainte-Marie. Candidat 19 fois, il a été élu 18 fois à la fonction de député de cette 6ème circonscription… difficile dans ce contexte de ne pas y faire référence. D’autant, que Marie Récalde le reconnaît volontiers, outre ses mandats à la Mairie et au Conseil général, c’est en tant que suppléante de Michel Sainte Marie qu’elle a « sillonné la circonscription, découvert ses atouts et ses spécificités ». En véritable mentor de la jeune élue, Michel Sainte-Marie, lui a transmis « le métier, ses valeurs, le pragmatisme par exemple mais aussi le dialogue, qui est toujours plus efficace que la confrontation. Etre suppléante de Michel Sainte-Marie a été un apprentissage de 5 ans. »
Quant à l’après élection, en cas de victoire, il faudra nécessairement faire des choix… Et sa décision est déjà prise. Côté professionnel, elle est actuellement en congé sans solde et projette clairement en cas d’élection de mettre son activité professionnelle entre parenthèses.  Quant à ses mandats : « j’abandonnerai mon siège au Conseil général et je quitterai mon siège d’Adjoint au Maire à Mérignac, mais je resterai conseillère municipale ». Une nécessité pour elle qui considère « qu’un élu doit aussi avoir un ancrage local pour voir si ce que l’on votera à Paris fonctionne sur le terrain ». Le pragmatisme est bel et bien là.

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