Un nouveau partenariat neoaquitain-québécois tourné vers l’innovation et l’ESS


Anne-Lise Durif
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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 23/01/2019 PAR Anne-Lise Durif

Un choix relativement logique, dans la mesure où l’ex-Limousin et l’ex-Poitou-Charentes  avaient eux-aussi un passif de coopération avec le Québec : sur l’économie sociale et solidaire, des projets culturels et des jumelages franco-québécois tournés vers la jeunesse, concernant le Poitou-Charentes ; des partenariats économiques dans l’agroforesterie, le secteur de l’eau et de l’environnement, ainsi que des échanges culturels pour l’ex Limousin. Quand l’ex Aquitaine, elle, était plutôt tournée vers l’économie et l’innovation, l’éducation, l’enseignement supérieur et la recherche.

Ce nouveau partenariat est donc une sorte de melting-pot des collaborations antérieures, revues à l’échelle des besoins de la Nouvelle-Aquitaine. On y retrouve logiquement 5 volets de coopérations majeurs sur les thématiques du développement économique, de l’économie sociale et solidaire, de l’enseignement et de la recherche, de la culture, ainsi que de la jeunesse et de la mobilité. Parmi les sujets de coopération prioritaires : l’innovation, en particulier dans le domaine de la santé. « Nous avons chacun un laboratoire spécialisé dans l’optique laser, qui ont fait en commun des avancées formidables sur le traitement des tumeurs. Nous de devons continuer à accompagner la recherche, et sur la santé de manière plus générale », a expliqué Alain Rousset avant de rappeler qu’en matière de nutrition et de qualité alimentaire, les Québécois avaient également beaucoup à apprendre aux Français.

Le développement de l’économie sociale et solidaire (ESS) sera également le deuxième point fort de ce partenariat. Là aussi, la Région compte s’enrichir des retours d’expérience de son cousin d’Amérique. Elle compte ainsi développer les échanges de pratiques entre les coopératives d’activités et d’emploi, renforcer l’aide à la création des projets d’insertion par l’activité économique (IAE), et contribuer davantage au développement de l’économie circulaire (type ressourceries) et des collaborations entre l’ESS, la culture et la filière numérique, créatrice d’emplois.

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