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PUBLIÉ LE 10/10/2011 PAR Aymeric BourlotIl valait mieux avoir le ventre vide avant d’aller faire un tour sur l’avenue Thiers ce weekend ! Car à peine descendu du tramway, la douce vision et – surtout – les délicieuses effluves émanant des stands alentours auraient réussi à donner faim même aux moins gourmands des visiteurs. Saucissons, jambons, pâtés, foies gras, olives, tomates, carottes, piments d’Espelette, escargots (à la bordelaise bien sûr), vins, poissons, huîtres, fromages, pommes, fraises, pruneaux, gâteaux basques, confiseries, miels et même bière artisanale du Médoc, il y en avait pour tous les goûts. « C’est merveilleux pour nous de pouvoir découvrir tout ça d’un coup » déclarent, dans un français hésitant, un couple de touristes allemands. Même pour les habitués, la découverte est toujours possible, « Je suis de la Bastide, je viens depuis 4 années de suite et même si je retrouve avec plaisir certains exposants, je suis très contente d’en découvrir de nouveau » confie une mère venue avec ses jeunes enfants, visiblement désireux de goûter à tout. Certains font leurs courses pour la semaine, d’autres pour Noël, certains viennent juste goûter, mais tous sont sous le charme. Et les exposants, eux aussi, savourent ce succès.
Comme à la ferme
Un peu plus loin, derrière l’église Sainte Marie, une nouvelle « allée verte » a été créée. S’étendant jusqu’au jardin botanique, dont la visite était également organisée, elle abrite veaux, vaches et moutons de la ferme pessacaise de Tartifume ainsi que d’impressionnantes poules au gabarit assez spectaculaire. Un atelier de traite est proposé, des plantes et des outils de jardinage sont également exposés. Quelques mètres plus loin, ce sont les saveurs et la musique des DOM-TOM, invités d’honneur de cette 18ème édition, qui sont mis à l’honneur avec des stands et des concerts. Les plus jeunes se massent devant les animaux, pendant que les un peu moins jeunes se laissent tenter par les spécialités antillaises, le tout sous les regards amusés des pompiers de la Benauge, dont l’exposition de casques suscite un certain intérêt et sans doute quelques vocations auprès des enfants.
Si les drapeaux basques et les petites ambiances de férias landaises et béarnaises sont fièrement mis en valeur, les exposants « étrangers » sont aussi présents. Venus de Corrèze, de Savoie, du Limousin, du Poitou-Charentes ou d’Alsace ils apportent, avec leurs produits, une petite touche d’originalité à une fête certes aquitaine, mais culinaire avant tout. « Les vins d’Alsace sont bons aussi vous savez. Ils sont complémentaires de ceux d’ici » affirme avec malice l’exposant alsacien « Ca permet d’alterner. Mais avec modération, même si c’est dur ».
Image :Club du Bon Goût d’Aquitaine
Comme à la ferme
Un peu plus loin, derrière l’église Sainte Marie, une nouvelle « allée verte » a été créée. S’étendant jusqu’au jardin botanique, dont la visite était également organisée, elle abrite veaux, vaches et moutons de la ferme pessacaise de Tartifume ainsi que d’impressionnantes poules au gabarit assez spectaculaire. Un atelier de traite est proposé, des plantes et des outils de jardinage sont également exposés. Quelques mètres plus loin, ce sont les saveurs et la musique des DOM-TOM, invités d’honneur de cette 18ème édition, qui sont mis à l’honneur avec des stands et des concerts. Les plus jeunes se massent devant les animaux, pendant que les un peu moins jeunes se laissent tenter par les spécialités antillaises, le tout sous les regards amusés des pompiers de la Benauge, dont l’exposition de casques suscite un certain intérêt et sans doute quelques vocations auprès des enfants.
Si les drapeaux basques et les petites ambiances de férias landaises et béarnaises sont fièrement mis en valeur, les exposants « étrangers » sont aussi présents. Venus de Corrèze, de Savoie, du Limousin, du Poitou-Charentes ou d’Alsace ils apportent, avec leurs produits, une petite touche d’originalité à une fête certes aquitaine, mais culinaire avant tout. « Les vins d’Alsace sont bons aussi vous savez. Ils sont complémentaires de ceux d’ici » affirme avec malice l’exposant alsacien « Ca permet d’alterner. Mais avec modération, même si c’est dur ».
Image :Club du Bon Goût d’Aquitaine
Aymeric Bourlot
