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PUBLIÉ LE 11/10/2013 PAR Ugo Amez« J’ai voulu voir de près comment cela ce passait à l’école d’Artigues-près-Bordeaux », raconte Jacques Brunet qui a observé comment se déroulait le temps périscolaire après une journée de classe traditionnelle. « J’ai vu que ça marchait. J’ai rencontré des enfants intéressés par les activités proposées et la sécurité semblait pleinement observée. »
« Les loisirs sont éminemment éducatifs »Bernard Rivaillé, reconnaît que des ajustements sont encore à faire mais il estime que la bonne mise en oeuvre de la réforme est une question de volonté. « Même si nous n’avions pas de certitude pour le financement, nous avons décidé d’y aller. À Lormont, l’éducation est au coeur de notre politique, nous avions déjà l’expérience du périscolaire », explique t’il. La commune propose différents parcours aux élèves en prenant soin de « ne pas faire l’école après l’école. ». Claude Touzot dont l’association prend en charge l’accueil des élèves d’un cinquantaine de communes en Gironde note cependant un déséquilibre entre les villes ayant déjà les compétences et certaines petites communes qui n’avaient même pas d’accueil périscolaire. « Elles vont être amenées à s’intéresser aux enfants. »
Pour suivre l’intégralité de l’émission, rendez-vous sur O2 radio (91.3) lundi 14 octobre à 16h et mercredi 16 octobre à 9h, ainsi qu’en podcast sur O2 radio.net
