S.A.Mérignac: Faire du sport ET en parler.


SAM
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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 16/01/2013 PAR Lise Gallitre

Pour Michel Cadilhon, président du SAM, il faut impérativement faire évoluer le club et la manière dont il est perçu: « L’image du SAM doit changer; depuis quelques années, nous sommes trop loin des adhérents. Il faut les remettre en valeur et faire que chacun d’eux se sente membre d’un club, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. » Reconnaissant sans peine le rayonnement du club qu’il préside, ce dernier souhaite en effet communiquer davantage sur des objectifs et des considérations plus proches de sa vocation première: rassembler des gens autour de valeurs communes. « Il nous paraît notamment indispensable de mettre en avant les performances sportives de nos sections et notre implication comme acteur de la vie sociale mérignacaise », a rajouté le directeur du club Fabien Peyrat, affirmant ainsi une nouvelle fois la volonté de faire évoluer l’image de l’institution que réprésente aujourd’hui le SAM.

« Besoin de mettre en valeur nos adhérents » Fort de ses 40 bougies soufflées l’année passée, le SAM est en effet un club qui compte, connu et reconnu pour sa longévité, pour son nombre d’adhérents (6800 en 2012) et pour le pari de l’exhaustivité tenu depuis de nombreuses années (27 sections sportives allant du football au cyclisme en passant par la boxe française, la gymnastique, la marche nordique ou le hockey sur gazon). Malgrè cet indéniable succès, communication internes et externes sont à revoir, l’objectif étant de faire qu’un véritable « esprit club » balaye toute pratique strictement consumériste du sport. « Le but n’est pas d’augmenter le nombre d’adhérents  mais de recentrer le débat sur la pratique sportive et sur les performances des adhérents afin que tout un chacun se sente à sa place; il faut parler de ce qu’on fait » a rajouté le précité M.Cadilhon. Parmi les mesures envisagées, un accès à tous les sports pour chaque adhérent ainsi que de nombreux avantages par le biais d’une carte et une communication interne où chaque section aurait son référent; c’est donc bel et bien le statut du samiste que l’équipe de direction veut revoir à la hausse.

Vers un nouveau SAM en 2013? Challenge de l’année.


 
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