Festival du Périgord Noir : place aux jeunes !


Aqui.fr, tous droits réservés
Copier le lien Partager sur FaceBook Partager sur Twitter Partager sur Linkedin Imprimer
Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 20/08/2012 PAR Bérénice Robert

Il est Japonais, elle est Portugaise. Il joue du piano, elle chante. Ensemble, le pianiste Satoshi Kubo et la soprano Raquel Camarinha avaient la lourde tâche d’ouvrir le bal. Un défi qu’ils ont relevé sans faillir, en proposant des pièces de Duparc, Delage, Auber, Ravel ou encore Coelho. Leur particularité ? Célébrer les contrées envoutantes et mystérieuses de l’orient et de l’extrême orient, à travers notamment la mise en musique de poèmes hindous ou arabes. Et la magie opère, grâce à la voix de Raquel Caraminha, d’une pureté étonnante, qui sublime ces mots venus d’ailleurs, et aux doigts de Satoshi Kubo qui l’accompagnent tout en finesse.

Un concert mélangeant plusieurs époquesPuis c’est au tour du Quatuor Hermès d’entrer en scène pour le deuxième acte de cette soirée, placée sous le signe de la jeunesse. Le Quatuor Hermès, formé au Conservatoire Nationale Supérieur de Musique de Lyon, ce sont quatre musiciens à l’allure juvénile, Omer Bouchez, Elise Liu, Yung-Hsin Chang et Anthony Kondo, pour deux violons, un alto et un violoncelle. Ils ont offert au public un concert mélangeant plusieurs époques, du classique Haydn au contemporain Dutilleux, en passant par le romantisme de Debussy, qui a ravi jusqu’aux oreilles les plus exigeantes. Presque étonnés de leur succès, ils n’ont pourtant pas dérogé à la règle du rappel, avec une reprise d’Haydn.

Quatuor Hermès

Deux concerts donc, pour une conclusion :  au Festival du Périgord Noir, le talent n’attend pas le nombre d’années.

 

Partagez l'article !
Copier le lien Partager sur FaceBook Partager sur Twitter Partager sur Linkedin Imprimer
On en parle ! Dordogne
À lire ! SPÉCIAL > Nos derniers articles