Le Château Larchère est sis sur des sols à dominante argilo-calcaire : 20 de blanc et 8en rouge. Une exigence qualitative qui se lit dans leur regard et s’apprécie, verre en main, pour déguster un Monbazillac 2004 – sémillon, sauvignon, muscadelle- d’une grande finesse aromatique. Pour réussir en bio dans des années aussi aléatoires que celles récemment connues Thierry Baudry n’a qu’un secret : être présent au vignoble, à l’écoute, connaître ses parcelles, ce qu’il nomme d’une phrase : « savoir se réapproprier le milieu ». A méditer.
La venue des Baudry au Salon régional a été grandement facilitée par l’accueil permis par la région sur l’espace « lounge Bio » didactique et ouvert. Un seul regret pour ces vignerons passionnés, l’ADSL n’est pas encore arrivée jusque chez eux et c’est un vrai handicap.
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