Les Crépuscules succèdent aux Macariens dans la Galerie Simone.


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Publication PUBLIÉ LE 02/08/2013 PAR Laura Jarry

Le « Tous » de Saint-Macaire.

Avis du public sur les

Isabelle Buin-Bourjalliat alias Lisabé, a exposé les portraits des habitants de Saint-Macaire à la Galerie Simone et les Mauhargats, montrant ainsi la diversité de la vie de cette ville. Des hommes et des femmes, des jeunes et des moins jeunes, ces quarante-sept personnes se sont laissées prendre en photographies dans un de leurs lieux préférés du village, celui qui leur rappelle des souvenirs, drôles ou émouvants, ou qui esthétiquement représente le plus Saint-Macaire.
Tous évoluent, vivent dans cette ville, et Lisabé explique elle-même que c’est ce « tous » qu’elle invitait le public et les nombreux touristes à découvrir : « une histoire d’échanges et de partage, une histoire d’histoires, sur fond de cité aux bras grands ouverts, une déclaration d’amour à cette alchimie hétéroclite si précieuse, avec l’espoir que la flamme perdure, au-delà du temps pressé et des cahots du chemin ».

Origine et Crépuscules.A l’origine de cette galerie, Isabelle Buin-Bourjalliat, fraichement débarquée d’Italie, qui choisit de rénover une maison du XVIIème, en plein centre du village médiéval de Saint-Macaire. Rejointe par Delphine Scipion, macarienne créatrice aux multiples talents, puis Katia K, plasticienne, elle dessine trois espaces dans ces lieux : un commerce en rez-de-chaussée qui présente une sélection de meubles et objets originaux ; une galerie au premier étage qui expose tout au long de l’année, sur une durée moyenne de 2 mois, des œuvres de photographes contemporains ou de plasticiens ; et un studio photo doté d’un labo argentique au second.
A partir du 10 août, Thomas Déjeammes exposera ses photographies, nées de la rencontre avec la danseuse Camille Escudero, mettant en question le rapport au corps quand il est totalement dénué de ses apparats et de ses conventions sociales.

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