Maïsadour et les filières agroalimentaires : une question de logique !


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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 18/05/2012 PAR Solène MÉRIC

De la semence du maïs qui nourrit, par exemple, le Poulet des Landes, à la transformation et la mise en emballage de la volaille, en passant par son élevage, tout se tient. Enlevez une seule de ces étapes et la filière s’écroule… comme une tour de cubes à laquelle on sortirait un de ces éléments. La comparaison est si vraie que c’est justement un jeu de cubes de bois qui a été choisi par la coopérative pour permettre aux visiteurs de faire le lien du maïs au poulet. Cette année, « ni écran tactile, ni matériel high tech, que du contact, du concret et du manipulable, c’est la meilleure manière d’interagir avec le public », explique Alice Helt, la directrice de la communication du groupe.

Les filières en photos, en chiffres et en mots clefs

Mais, au-delà de la reconstruction de la logique de filière ces petits cubes de bois, nous apprennent aussi beaucoup sur les filières elles-mêmes. En photo, en chiffres et en quelques mots clefs chacune des faces des cubes apporte des renseignements sur divers éléments de la filière. « C’est  une manière d’attirer l’attention du public, sur les emplois, nombreux, que la filière porte sur le territoire. » poursuit Alice Helt. La encore, l’idée est de concrétiser dans l’esprit des visiteurs, la réalité des filières agroalimentaires.
Les visiteurs qui se sont prêtés au jeu repartent bien sûr avec de petits cadeaux : des magnets à coller sur leur frigo. Ceux-ci leur rappelleront leur visite sur le stand, et tout le chemin agricoles et agroindustriel que leurs aliments ont dû parcourir avant d’arriver jusqu’à eux !

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