Photographicofolies : Expositions de l’été pour découvrir le libournais.


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Temps de lecture 2 min

Publication PUBLIÉ LE 12/07/2012 PAR Laura Jarry

Si son inauguration se faisait sur le site du Château Bomale à Saint-Denis de Pile, le temps de plusieurs ateliers et rencontres, le festival des Photographicofolies ne peut se résumer à deux seules journées, s’étalant bien au contraire durant tout l’été. Chaque artiste bénéficiant d’un lieu d’exposition, il faut un moyen de locomotion et le minimum d’une journée pour faire le tour des neufs galeries de photographies. Après un arrêt à la médiathèque de Libourne pour voir l’exposition de Lili Renée, une bordelaise de naissance toujours à la recherche du beau et de l’irréel, et de Jean-Louis Duzert, ancien photographe pour Sud-Ouest qui propose ici « Ma Balada Flamenca », c’est dans tout le territoire alentour qu’il faudra se promener.

Arrêt pour images.
Un premier arrêt se fera à la bibliothèque de Saint-Denis de Pile, pour un coup d’œil aux œuvres de Mike Palace, qui photographie les nus aussi bien que les situations choquantes, avec pourtant une simplicité, une envie d’épuré. Un détour par la bibliothèque de Guîtres sera fort utile pour admirer le travail de Gérard Vallet, adepte de la photo figurative qui réalise beaucoup de clichés pour des magazines et catalogues. Dans la même ville, les expositions de la mairie permettront de saisir la différence et la fraîcheur de photographes amateurs, issus de Photo-clubs (également à la mairie de Bonzac) et d’écoles (CFA Gustave Eiffel et le lycée Toulouse-Lautrec).
Il faudra ensuite au public suivre le chemin vers la très jolie mairie de Coutras pour l’exposition de David Manaud, photographe professionnel de skateboard, qui intitule d’ailleurs celle-ci « Skate ou not skate ? Là est la David photo ». La prochaine étape se fera à l’écomusée de Montagne pour découvrir le les oeuvres du photographe et réalisateur Christophe Mourthé, qui s’inscrivent à la fois dans la période de liberté des années 70 et dans celle du « safe sex », un travail esthétique presque désirable.
Si le cœur vous en dit, et si le temps vous le permet, un dernier détour vers la mairie de Lapouyade sera un final sympathique à cette expédition culturelle, grâce au « Super Heroes face au monde moderne » de Modaliza, inconditionnelle de la beauté des photos de mode, mais aussi des moments de vie.

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