Vu des étudiants du parcours journalisme de l’IEP – Quand le Modem n’en fait qu’à sa tête en Charente-Maritime


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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 11/03/2010 PAR Joël AUBERT

Cet accord local conclu par les deux partis soulève cette question récurrente des élections régionales : faut-il s’unir ou, au contraire, courir le risque de triangulaires ?
En s’unissant dès le premier tour aux socialistes, les candidats du Modem n’ont pas respecté les consignes impulsées par le parti à l’échelle nationale. En effet, au mois de décembre dernier, la vice-présidente du Modem, Marielle De Sarnezavait publiquement refusé la proposition de Ségolène Royal, s’allier dès le premier tour. « Nous irons aux élections régionales sous nos propres couleurs », avait-elle déclaré.
A la suite de cette décision, les mécontents n’ont pas tardé à s’exprimer. Dans le camp socialiste, six candidats ont exprimé leur insatisfaction face à liste proposée par l’élue de Poitou-Charentes. Ils ont appelé Madame Royal à « respecter ses engagements ». Côté Modem, les opposants à ce rassemblement rêvé par la candidate du PS mènent une liste autonome.
A noter qu’Alexis Blanc,responsable du mouvement centriste en Charente-Maritime a lui aussi été trompé par la stratégie « Royal » après avoir franchi le pas de l’union. Alors qu’une position de candidat éligible lui avait été promise, il doit aujourd’hui se contenter de la septième position sur la liste.Il n’avait pas été prévenu par la tête de liste de ces modifications.

Anne-Sophie Chatenet


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