Cap Sciences dévoile les secrets de Lascaux jusqu’au 6 janvier…


ascaux, un nom que tout le monde connait mais qui conserve, aux yeux du grand public, sa part de mystère et d’inconnu. C’est de ce constat qu’est partie la genèse de cette exposition monumentale, s’étalant sur plus de 700 m²  et faisant la part belle

Cap Sciences
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Temps de lecture 1 min

Publication PUBLIÉ LE 20/12/2012 PAR Aymeric Bourlot

Lascaux, un nom que tout le monde connait mais qui conserve, aux yeux du grand public, sa part de mystère et d’inconnu. C’est de ce constat qu’est partie la genèse de cette exposition monumentale, s’étalant sur plus de 700 m²  et faisant la part belle aux nouvelles technologies. « Observation », « Contemplation » et « Réflexion » sont les trois temps de cette « aventure scénographique », dixit Bernard Alaux, qui présente l’ensemble des découvertes, des interprétations et des enjeux liés à ce monument de l’histoire de l’humanité. Clou du spectacle, un fac-similé partiel de la célèbre grotte de la vallée de la Vézère permet d’observer et de déchiffrer, à partir du travail des paléontologues, les peintures et les gravures réalisées sur ses parois.

Après Bordeaux, le monde.

Depuis la découverte de la grotte en 1940 jusqu’aux travaux de nos jours en passant par sa fermeture dans les années 60, un retour sur l’ensemble des explorations scientifiques, historiques et artistiques autour de Lascaux est également proposé. Le but est ici de s’interroger sur les enjeux actuels d’un site « encore en bon état de conservation » et de mettre en lumière l’importance de sa préservation pour les générations futures. « La dimension émotionnelle de l’exposition égale son caractère instructif » prévient Bernard Alaux, qui se félicite de voir l’intérêt du public mais aussi du monde culturel et scientifique pour le projet. En effet, si Cap Sciences jouit d’une première mondiale et d’une exclusivité nationale, l’exposition « Lascaux » va entamer une tournée mondiale qui la verra notamment passer par Chicago et Montréal. Preuve supplémentaire que la « chapelle Sixtine de la préhistoire » n’a pas fini d’attirer les foules. Bordeaux et l’Aquitaine ont encore quelques jours pour jouir du privilège d’une exposition qui n’est pas prête de revenir en France…

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